FAQ

Rats / Souris

Se retrouver en face d’un rat, à l’intérieur de son logement ou de son entreprise, n’est pas une expérience agréable. Au contraire, c’est une mauvaise nouvelle car s’il y en a un, il est fort probable qu’il ne soit pas seul. Et surtout, cette présence est à l’origine de diverses nuisances. Dans ce cas, une question se pose : comment faire fuir ces nuisibles ? En effet, rares sont les personnes à avoir envie de cohabiter avec eux. Mais quand ils sont installés, il n’est pas toujours facile de les déloger. C’est pourquoi, il est important de prendre de bonnes habitudes au quotidien, en prévention, pour ne pas les attirer. En adoptant les bons gestes, une invasion peut être évitée. Néanmoins, lorsqu’elle est confirmée, il faut bien les éloigner. Pour cela, certaines techniques ont fait leurs preuves.

Les mesures de prévention à adopter pour ne pas les attirer

Chez As de Pic, quand nous intervenons pour une dératisation, nous donnons des conseils à nos clients pour éviter une nouvelle invasion. Il s’agit d’astuces simples à mettre en place au quotidien et qui permettent vraiment de repousser les rats d’un logement, d’une entreprise. Par exemple, nous vous conseillons de conserver les denrées alimentaires dans des récipients fermés et étanches (en verre ou en métal de préférence). De même, mettez vos ordures dans des poubelles fermées, avec un couvercle, pour qu’ils ne puissent pas y accéder. Si vous avez des animaux de compagnie ou des oiseaux, rangez leur nourriture à l’intérieur ou dans des contenants étanches. En extérieur, ne laissez pas traîner de déchets ou de tas de bois. Si vous cultivez des fruits, des légumes, ramassez-les ou cueillez-les quand ils sont mûrs. L’utilisation de répulsifs naturels – poivre, feuilles de laurier, menthe poivrée par exemple – peut également être une solution, mais elle n’est pas toujours efficace. Il est aussi recommandé de boucher les fissures par lesquelles ils pourraient passer, et de poser des grilles près de canalisations.

Que faire si vous ne parvenez pas à les éloigner ?

Bien que ces mesures de prévention soient efficaces, il arrive que les rats se faufilent quand même dans une maison, un établissement. Dans ce cas, il est plus difficile de les faire fuir car ils ont sans doute trouvé des endroits où se cacher et nidifier. Or, si vous ne faites rien, ils vont se reproduire et être encore plus nombreux. Pour éviter cela, procéder à une dératisation s’avère la meilleure solution. Cela les fera fuir puisqu’ils seront éliminés. Cependant, après l’intervention de dératiseurs, il est nécessaire d’être vigilant pour ne pas subir une nouvelle infestation … et donc de faire de la prévention !

En ville ou à la campagne, les rats peuvent envahir les logements, locaux professionnels et commerces. Responsables de nombreux dégâts matériels, ils transmettent également des maladies car ils sont porteurs de bactéries. C’est pourquoi ils sont indésirables. Cependant, lorsque leur présence est confirmée, il faut bien trouver un moyen de les éliminer. Si plusieurs techniques de dératisation existent, toutes ne sont pas forcément efficaces. En fait, tout dépend du niveau d’infestation. Plus ces rongeurs nuisibles sont nombreux, plus il est difficile de les faire partir. D’ailleurs, quand l’infestation est importante, il vaut mieux s’adresser à des professionnels pour en venir à bout et retrouver un environnement sain, paisible.

Les méthodes accessibles à tous pour lutter contre les rats

Avant de faire une dératisation, il faut déjà repérer les lieux de nidification des rats, leurs points d’entrée et de sortie. Il faut aussi évaluer leur nombre, à partir des traces de leur passage notamment, telles leurs déjections, pour déterminer le traitement adapté. Ensuite, plusieurs produits sont disponibles dans le commerce pour lutter contre la présence des rats. Vous retrouvez des appâts (que vous pouvez également fabriquer), des appareils à ultrasons, et des pièges mécaniques ou électriques par exemple. Et si la fameuse mort-aux-rats n’est plus vendue dans les commerces de nos jours, d’autres raticides le sont mais leur utilisation nécessite une grande vigilance car ils sont nocifs. De même, il faut savoir que ces produits ne permettent pas toujours d’éliminer les rongeurs.

Contacter un dératiseur professionnel, la solution la plus efficace

Si les méthodes citées précédemment n’apportent guère de résultats, il faut passer à l’étape supérieure : confier la dératisation d’un logement, d’un commerce à un spécialiste. En effet, seuls les professionnels disposent de produits suffisamment efficaces pour éradiquer les rats. De même, ils savent identifier avec précision les lieux de nidification de ces rongeurs. Ils connaissent leur mode de vie et peuvent également vous conseiller pour éviter une nouvelle invasion. Chez As de Pic, nos dératiseurs utilisent des appâts empoisonnés plus puissants que ceux vendus dans les magasins. Ces derniers contiennent une molécule qui, une fois ingurgitée, agit en quelques jours sans faire souffrir les nuisibles. En outre, ils adaptent le traitement et sa durée en fonction de l’infestation. Pour en savoir plus, n’hésitez pas à contacter notre société !

Lorsqu’une invasion de rats est avérée dans un logement, il faut souvent confier sa dératisation à des professionnels pour les éliminer et ainsi, éviter des dégâts. Mais quand on loue une maison, un appartement, qui doit régler la facture ? Le propriétaire ou le locataire ? Si en principe, le propriétaire paie les frais d’une dératisation, cela ne décharge pas le locataire de certaines obligations (entretien de son habitat notamment). De même, ce dernier doit pouvoir fournir des preuves de la présence de ces rongeurs car le déplacement de dératiseurs n’est pas gratuit. Donc, mieux vaut être sûr qu’il y ait bien des rats pour éviter une intervention et une dépense inutiles.

Des frais à la charge du propriétaire d’un bien immobilier

Comme le stipule la loi Elan de 2018, le propriétaire doit fournir un logement décent et salubre à son locataire, « exempt de toute infestation d’espèces nuisibles et parasites ». Par conséquent, si des rats ont envahi un appartement, une maison en location, il lui appartient de faire venir des dératiseurs et de payer la dératisation. Cela concerne les propriétaires (ou bailleurs) privés mais aussi, publics. Et si ces rongeurs ont envahi des parties communes ou plusieurs logements, les frais sont assumés par la copropriété. De même, il faut savoir que les produits utilisés par les dératiseurs peuvent faire partie des charges récupérables. Tout dépend du bail signé entre les deux parties.

Les obligations pesant sur le locataire d’un logement

Si les frais d’une dératisation doivent être payés par le propriétaire d’un bien, le locataire a, lui aussi, des responsabilités. Il doit garder son logement salubre, propre, et donc l’entretenir. Par exemple, si la présence de rats est causée par un mauvais entretien (poubelles qui débordent et qui ne sont pas sorties, vaisselle sale qui traîne, absence de ménage …etc.), le paiement de l’intervention des dératiseurs sera à sa charge. Idem si le locataire contacte une entreprise de lutte contre les nuisibles sans en informer son propriétaire car c’est ce dernier qui doit engager ces professionnels. Donc, en cas de signes indiquant la présence de ces indésirables, le premier réflexe d’un locataire doit être de contacter son propriétaire ou son bailleur.

Parmi les rongeurs nuisibles, qui sont responsables de dégâts et qui peuvent transmettre des maladies, on retrouve les souris. Plus petites que les rats, elles se faufilent aisément dans les maisons. Or, la cohabitation avec ces animaux n’est guère plaisante. Souvent, elle se traduit par du stress, des risques sanitaires, des nuisances et des dégradations matérielles. Pour éviter une infestation, il est important de comprendre leur mode de vie. Et comme ces rongeurs se reproduisent vite, mieux vaut rapidement identifier les causes de leur présence pour ne pas se retrouver avec une colonie importante chez soi !

Des petits animaux à la recherche de nourriture, de chaleur et d’un abri

Plusieurs raisons peuvent être évoquées pour expliquer la présence de souris dans une maison. Tout d’abord, elles sont attirées par la nourriture. Leur odorat très fin et développé leur permet de trouver et de détecter aisément des aliments. D’autant qu’elles aiment aussi bien les fruits que les légumes, la viande et les céréales. Des denrées qui sont présentes dans bon de nombre de foyers en résumé.
Ensuite, elles viennent dans les maisons pour se protéger du froid, en particulier en automne et en hiver, car elles supportent mal les températures fraîches, le gel, la neige. La chaleur de nos logements les attire donc.
Enfin, elles cherchent à rentrer pour faire leur nid, pour se mettre à l’abri des prédateurs et pouvoir se reproduire en toute tranquillité.

Les endroits à surveiller pour éviter une invasion de souris dans votre intérieur

Comme nous l’avons expliqué précédemment, ces rongeurs viennent dans les maisons pour faire leur nid. Et pour cela, elles choisissent des endroits cachés, à l’abri de la lumière, tels que des caves, des sous-sols, des garages, des greniers, des débarras et des celliers. Des lieux qu’il faut donc surveiller attentivement si vous pensez subir une invasion de souris. Capables de se faufiler un peu partout, elles peuvent aussi rentrer dans un logement par les tuyaux d’évacuation et les ventilations.
Pour repérer leur présence, il existe plusieurs signes caractéristiques : des excréments, des bruits inhabituels (grattements et couinements par exemple), des aliments rongés, des traces de dents sur des meubles, des plinthes, des câbles électriques … De même, pour faire un nid, ces nuisibles utilisent divers matériaux tels que des branchages, du carton, du papier et des isolants, sans oublier leurs poils. Il est aussi possible de retrouver des cadavres et d’apercevoir des traces de pattes sur le sol ou dans de la poussière. Et lorsqu’une invasion est avérée, ne perdez pas de temps, contactez rapidement des professionnels de la désinsectisation, comme notre société As de Pic !

Punaises de lit

Les punaises de lit font partie des nuisibles les plus difficiles à éradiquer. En effet, elles sont plutôt résistantes et leur petite taille leur permet de se cacher dans des endroits assez difficiles d’accès. Pour les éliminer, il faut donc s’adresser à des spécialistes, qui connaissent leur mode de vie et les méthodes efficaces pour s’en débarrasser. Chez As de Pic, nous avons élaboré un traitement qui comporte plusieurs étapes et qui implique le respect d’une procédure minutieuse. Ainsi, avant chaque intervention de nos équipes pour une désinfection, un protocole préalable de lutte contre les punaises doit être mis en place.

Un traitement en deux étapes pour éliminer ces nuisibles

Avant de détruire les punaises de lit et leurs nids, il faut préparer les lieux et l’intervention de nos techniciens. La 1ère étape est donc une préparation, qui ne doit pas être prise à la légère car elle est indispensable pour garantir l’efficacité du travail de nos équipes. Elle se traduit par l’envoi à nos clients d’un document dans lequel nous détaillons le protocole de traitement préalable à appliquer. Cela prend certes du temps, mais cela permet de préparer le terrain pour la désinfection en elle-même. Cette dernière est donc la seconde étape, qui est réalisée par nos techniciens une fois que le traitement préalable a été effectué. Elle consiste en la pulvérisation d’un insecticide puissant dans les pièces concernées et celles situées à proximité.

Un protocole à suivre à la lettre pour garantir son efficacité

Pour lutter contre les punaises de lit, seule la désinfection procure des résultats. Cette technique est plus lourde et longue à mettre en place que nos autres méthodes, mais cela s’explique par la résistance de ces nuisibles, leurs habitudes de vie. De même, elle requiert la participation de nos clients. Nous sommes conscients que ce n’est pas évident et que cela s’avère assez contraignant. Mais c’est essentiel. Pour les aider, nous avons défini un protocole préparatoire qui récapitule toutes les actions à faire avant notre intervention. Toutes sont clairement détaillées afin de faciliter leur réalisation. Leur but est d’optimiser les résultats de notre traitement afin de retrouver un lieu de vie ou de travail sain, confortable et agréable.

Les punaises de lit sont de petits insectes, qui mesurent entre 5 et 7 mm. Bien qu’elles soient visibles à l’œil nu, il est assez rare de les voir se déplacer dans une pièce car elles se cachent en journée et sortent principalement la nuit. Néanmoins, certains signes trahissent leur présence et permettent de les identifier. En effet, à l’instar d’autres nuisibles, à chaque passage, à chaque sortie nocturne, elles laissent des traces. Ces dernières se repèrent sur des meubles, de la literie mais aussi, sur la peau. Pour savoir si vous avez des punaises de lit, vous devez donc vérifier si vous trouvez ces signes d’infestation chez vous. Voici les principaux.

Les signes indiquant la présence de ces nuisibles dans une pièce

Souvent, les punaises de lit se nichent dans des fentes, des fissures, des plinthes, des prises électriques, des têtes de lit, des sommiers, entre des lames de parquet …etc. Des endroits difficiles d’accès pour les humains en résumé. Il n’est donc pas évident de les repérer dans une pièce (salon et chambre le plus souvent). Mais ce n’est pas impossible. Plusieurs signes révèlent leur présence. Parmi eux, citons des tâches sombres – leurs déjections – sur un matelas, une odeur désagréable et des tâches de sang sur les draps. Vous pouvez aussi retrouver des œufs, qui sont assez petits, ovales et blancs, ou des squames de peau quand elles muent.

Les punaises, des insectes laissant des traces sur le corps

Ces nuisibles se nourrissent de sang humain. Dès lors, leur présence se constate aussi sur le corps. Si le matin, vous vous réveillez avec des boutons et traces rouges sur la peau au niveau du cou, des mains, des bras, des jambes ou du dos, il est fort probable que vous ayez des punaises de lit chez vous. En général, les piqûres se produisent la nuit et ne vous réveillent pas. En revanche, lorsque vous les remarquez sur votre corps, elles peuvent vous démanger. Pour les reconnaître, il faut savoir qu’elles sont souvent groupées, petites, elles gonflent et provoquent des rougeurs.

Si vous avez identifié sur votre corps, ou chez vous des signes de la présence de ces nuisibles, surtout n’attendez pas. Contactez rapidement des désinsectiseurs, comme nos agences As de Pic, pour les éliminer et éviter leur multiplication.

Les punaises de lit se nourrissent principalement de sang humain. Attirées par la chaleur et le dioxyde de carbone émis par notre organisme, elles sortent essentiellement la nuit lorsque nous dormons. En moyenne, elles ont besoin de nourriture tous les 5 à 7 jours et il leur faut entre 10 et 20 minutes pour prendre la ration de sang dont elles ont besoin. De même, elles ne se baladent pas sur toutes les parties de notre corps. Elles grimpent uniquement sur les parties découvertes de la peau, celles en contact avec le matelas, les draps. Dès lors, elles piquent surtout sur les bras, le cou, les mains et les jambes. Mais une fois qu’elles ont terminé de se sustenter, où vont elles ? Est-ce qu’elles restent sur le corps toute la journée ?

Des insectes présents sur le corps seulement quand ils piquent

Rassurez-vous, si vous êtes piqué la nuit par des punaises de lit, vous ne les gardez pas sur vous au réveil. En fait, elles ne vivent pas sur notre corps, à l’inverse des poux qui eux, s’installent sur la tête. Quand elles ont fini de se nourrir, elles retournent se cacher. Elles restent donc peu de temps sur la peau puisqu’il leur faut environ 5 à 10 minutes pour se gorger de sang. De plus, il faut savoir que ces nuisibles sortent très rarement en journée (sauf s’ils sont vraiment affamés). Ils préfèrent l’obscurité, les recoins sombres et au calme. Par conséquent, vous n’en trouverez pas sur votre corps en vous levant le matin par exemple. En revanche, il est possible d’en avoir dans des bagages et des meubles notamment.

Une courte présence sur la peau… mais plus longue à certains endroits

Sur le corps, les punaises de lit restent entre 10 et 20 minutes au maximum, soit la durée de leur repas. Ensuite, elles repartent se mettre à l’abri, dans des cachettes où elles sont présentes bien plus longtemps. Parmi leurs lieux de prédilection, on retrouve les valises, les tapis, les lattes des parquets, les plinthes, la literie, les draps, les housses de canapé et les vêtements. A noter cependant qu’elles s’éternisent rarement sur ces derniers. Elles peuvent se cacher dans les vêtements c’est pour cela que le protocole préconise de congeler les vêtements. Et pour les éliminer, la désinsectisation réalisée par des spécialistes s’avère le moyen le plus efficace.

A la différence des rats et des cafards, les punaises de lit ne sont pas attirées par la nourriture. La raison est simple : pour vivre, elles se nourrissent seulement de sang. Et pour cela, elles nous piquent la nuit, pendant notre sommeil. De même, elles ne se déplacent pas dans la nature, allant d’elles-mêmes d’un endroit à un autre. En fait, on les transporte à notre insu, dans nos bagages, sur nos vêtements ou dans des meubles achetés d’occasion. Et souvent, on ne remarque pas leur présence immédiatement. On en prend conscience lorsque l’on se réveille avec des boutons et plaques rouges sur la peau, et que ces derniers provoquent des démangeaisons voire des réactions allergiques.

Des nuisibles se nourrissant de sang et attirés par le CO2 dégagé par le corps

Les punaises de lit sont principalement présentes dans les chambres ou dans les salons. Des pièces où l’on trouve des lits, des canapés, des fauteuils dans lesquels on peut dormir et se reposer. En effet, ces nuisibles sont attirés par le CO2 que nous dégageons lorsque nous dormons. Préférant l’obscurité à la lumière, ils se cachent en journée et sortent la nuit. C’est donc à ce moment-là, quand nous sommes dans les bras de Morphée, qu’ils nous piquent pour se nourrir de notre sang. De même, les punaises sont petites puisqu’elles mesurent entre 5 et 7 mm de long à l’âge adulte, et marchent mais ne volent pas.

Des indésirables que l’on transporte avec soi, d’un lieu à un autre

Si ces nuisibles ne savent pas voler et ne sont pas attirés par la nourriture, comment font-ils pour arriver dans une habitation ou un établissement ? Et bien c’est simple, les punaises de lit se déplacent avec nous ou sur nous, sans que nous le sachions. Par exemple, si on loge dans une chambre d’hôtel infestée, il est fort probable d’en ramener dans sa valise. Idem si on va au cinéma et qu’il y en a dans la salle. Dans ce cas, elles voyagent sur nos vêtements. Il est également fréquent d’en retrouver dans des meubles d’occasion, car elles se cachent à l’intérieur dans les tiroirs par exemple. Seulement, en cas d’infestation, les éliminer n’est pas une mince affaire. C’est pourquoi mieux vaut s’adresser directement à des professionnels – telles nos agences As de Pic – pour procéder à une désinsectisation et ainsi, éviter leur prolifération.

Pigeons

Aujourd’hui, dans les villes, les pigeons sont des oiseaux particulièrement indésirables car ils sont envahissants. Or plus ils sont nombreux, plus ils provoquent des dégâts. C’est pourquoi il est nécessaire de réduire leur nombre. Pour cela, différentes solutions existent, qui peuvent être utilisées par des professionnels et des particuliers. Cependant, il faut préciser que se débarrasser de ces volatiles ne signifie pas les tuer. En fait, il s’agit de les éloigner et de les empêcher de s’installer à certains endroits.

Les méthodes disponibles pour les éloigner sans les blesser

La première technique pour éviter la prolifération des pigeons est de ne pas les nourrir. D’ailleurs, dans de nombreuses villes, on trouve des panneaux rappelant qu’il est interdit de leur donner à manger. Mais cela ne suffit pas forcément car ils peuvent trouver de la nourriture au sol, près ou dans des poubelles. D’où la nécessité de recourir à des méthodes plus efficaces telles que la pose de pics métalliques sur des corniches ou balcons, de fils tendus en métal, de filets (peu esthétiques mais idéals au-dessus d’une cour, d’une terrasse par exemple) et l’utilisation de répulsifs visuels, olfactifs, acoustiques ou sonores.

Faire appel à un professionnel du dépigeonnage, une nécessité ?

Pour se débarrasser des pigeons, il est donc possible d’opter pour l’une des méthodes citées précédemment. Seulement, elles ne sont pas toujours suffisantes. En cas d’invasion massive ou de dégâts importants, mieux vaut s’adresser à des spécialistes afin qu’ils puissent procéder à un dépigeonnage. Ainsi, ils peuvent opter pour une solution adaptée à l’infestation, qui permet vraiment de faire fuir ces volatiles. De même, en tant qu’experts, ils savent comment bien installer les systèmes anti-pigeons (tendre correctement le filet, le fixer au bon endroit, ou espacer les pics à bonne distance les uns des autres par exemple). Et surtout, ils tiennent compte de l’environnement d’un bâtiment, d’un logement, de son architecture pour déterminer la meilleure solution pour faire partir ces oiseaux. Pour en savoir plus sur le dépigeonnage, n’hésitez pas à contacter notre société.

Avoir quelques pigeons dans son jardin, dans un espace vert ou dans une ville n’est pas un problème. En revanche, leur présence devient difficile à gérer quand ils sont nombreux car ils provoquent des désagréments, tant sanitaires que matériels. C’est pourquoi il faut limiter leur nombre et les empêcher de se poser sur des toits, balcons ou gouttières, ou les éloigner de certains lieux, bâtiments. Et pour éviter une invasion de ces oiseaux, il faut aussi comprendre leur mode de vie et ce qui les attire. En effet, ils ne viennent pas quelque part par hasard. Ils sont à la recherche de nourriture et s’ils en trouvent, ils prendront vite l’habitude de revenir. Ils sont également en quête d’endroits où faire leur nid.

La nourriture, principale responsable de l’invasion de ces oiseaux

Les pigeons, à l’instar de nombreux autres animaux, sont attirés par la nourriture. Si vous donnez des graines aux oiseaux, si vous avez des poules, ou si vous jetez des miettes de pain, des bouts de biscuits ou gâteaux dans votre jardin, ils vont rapidement venir pour se nourrir. Idem si vous laissez des aliments sur un bord de fenêtre ou une table de jardin lorsque vous prenez vos repas dehors. Et comme ces oiseaux ont bonne mémoire, ils reviendront régulièrement. De même, si vous ne fermez pas le couvercle de votre poubelle en extérieur, ils peuvent y trouver à manger.

Les endroits où ils ont la possibilité de se poser et nicher

Les pigeons ne viennent pas uniquement pour s’alimenter. Ils cherchent aussi des coins où nicher et se reproduire, se mettre à l’abri et dormir. Et ces derniers sont assez nombreux, tant dans les villes que dans les campagnes. Parmi eux, on retrouve les gouttières, les arbres, les toits, les bâtiments abandonnés, les corniches, les balcons, les rebords des fenêtres, les constructions métalliques … Des endroits situés en hauteur, où ils sont protégés des prédateurs en résumé. Et il faut également savoir qu’en général, ces volatiles viennent nicher là où ils sont nés, sauf bien sûr s’ils sont chassés ou si l’accès leur est désormais interdit.

Les pigeons sont des oiseaux qui vivent aussi bien en ville qu’à la campagne. On les retrouve dans les rues, les jardins, les espaces verts, sur les toits, sur les balcons… un peu partout en d’autres termes. Seulement, leur présence n’est pas la bienvenue car elle se traduit par des nuisances. Par exemple, leurs fientes sont tellement acides qu’elles dégradent divers matériaux. Elles peuvent donc abîmer des façades et nuire à l’aspect esthétique des bâtiments. De même, ces oiseaux aiment nicher sur les corniches, les gouttières, les bords de fenêtres… où ils causent des dégâts. Pour éviter qu’ils puissent s’y installer, il existe plusieurs moyens assez faciles à mettre en place.

Les solutions peu coûteuses permettant de les éloigner

Pour empêcher les pigeons de nicher dans votre jardin, sur votre balcon ou toit, vous pouvez leur faire peur avec un moulin à vent, un épouvantail fait maison (avec un manche en bois et du tissu) ou en accrochant de vieux CD sur des branches. Ne pas les nourrir est également un moyen simple pour les éloigner. Cela signifie qu’il ne faut pas leur donner de graines pour les oiseaux ou de miettes de pain par exemple. Evitez aussi d’installer des perchoirs. Si votre environnement n’est pas suffisamment accueillant pour eux, ils iront ailleurs.

Les autres méthodes efficaces pour qu’ils ne puissent pas se poser

Si les moyens cités précédemment ne suffisent pas pour les empêcher de nicher, d’autres solutions sont disponibles, qui nécessitent un investissement. Néanmoins, rassurez-vous, certaines sont très abordables. Vous pouvez acheter des ballons effaroucheurs, des boîtiers à ultrasons ou un spray répulsif. Si vous avez un balcon, la pose de panneaux inclinés sur la rambarde est possible, mais ce n’est pas forcément esthétique. En cas de nid sur une gouttière, l’installation d’un grillage fin peut régler le problème. Des faucons synthétiques sont également disponibles dans le commerce et peuvent les effrayer. Et si ces méthodes n’apportent pas de résultat, ou si les pigeons sont trop nombreux, il en reste une : le dépigeonnage réalisé par des spécialistes, comme notre société As de Pic.

Les pigeons, à l’instar des autres oiseaux, déposent leurs fientes un peu partout. Or, le problème est qu’elles sont très acides et peuvent dégrader des revêtements tels que du béton, du bois, des carrosseries, du carrelage, de la terre cuite et de la pierre. Les laisser est donc déconseillé car elles risquent d’abîmer ces matériaux et de les fragiliser. Mais comment faire pour les retirer ? Faut-il investir dans des équipements spécifiques ? Ou s’adresser à des professionnels ? Rassurez-vous, il existe des moyens simples et accessibles à tous pour les enlever sans appliquer de produits nocifs et sans attaquer les revêtements souillés.

Le vinaigre blanc, un produit efficace pour nettoyer ces déjections

Pour enlever des fientes de pigeons sans dépenser énormément d’argent, plusieurs solutions sont disponibles, dont le vinaigre blanc. En effet, ce dernier permet d’éliminer des résidus tenaces et de désinfecter. Adapté à différentes surfaces, il s’utilise seul (avec des gants) ou dilué dans de l’eau. Pour nettoyer des fientes, il vous suffit de les gratter un peu pour enlever le surplus puis, de frotter avec un tissu imbibé de vinaigre blanc, ou une brosse tout dépend du revêtement sur lequel vous intervenez. Ensuite, il ne vous reste plus qu’à rincer à l’eau claire. S’il reste des traces, vous pouvez renouveler l’opération.

Les autres astuces de « grand-mère » pour retrouver des surfaces impeccables

Outre le vinaigre blanc, d’autres produits qui sont souvent présents dans les cuisines et/ou les garages, peuvent vous aider à retirer les déjections des pigeons. Il y a notamment le savon noir qui est idéal sur du bois, la lessive en poudre pour les graviers, le bicarbonate pour la pierre, et de l’eau savonneuse pour la terre cuite. Sur du béton, sur la façade d’une maison par exemple, il est possible d’utiliser des cristaux de soude mélangés à de l’eau chaude. En revanche, sur une façade, si vous voulez vous servir d’un nettoyeur haute pression, faites attention car ce dernier peut nuire à l’étanchéité de l’enduit.

Guêpes et frelons

Depuis plusieurs années, le frelon revient au cœur de l’actualité en même temps que l’été. On craint son retour, d’avoir un nid dans son jardin et/ou de se faire piquer par cet insecte. Mais nos peurs sont-elles fondées ? Est-il vraiment dangereux ? Répondre non à ces deux questions serait un mensonge. En revanche, il est important d’apporter quelques précisions à propos du frelon. Si l’Asiatique présente bien des dangers, tant pour l’Homme que pour la biodiversité, son cousin européen est moins agressif. Seulement, ils sont souvent confondus. Pourtant, physiquement, ils sont différents puisque l’Asiatique est noir et un peu plus petit que l’Européen.

Un insecte pouvant être agressif et qui pique

Le frelon asiatique est donc bien dangereux. D’ailleurs, il fait partie des nuisibles car il est très envahissant et sa présence est source de gêne. En fait, il faut s’en méfier car, s’il se sent menacé, il attaque. Et à l’instar des guêpes, il pique. En soi, son venin n’est pas plus toxique qu’un autre. Néanmoins, il peut provoquer des réactions graves chez les personnes vulnérables, allergiques. D’autant que cet insecte étant plutôt grand, quand il pique, il injecte davantage de venin. Et plus la dose est forte, ce qui est le cas lors de piqûres multiples, plus elle peut avoir des conséquences négatives. C’est pourquoi il ne faut surtout pas s’approcher d’un nid et tenter de le détruire, car cela expose à une attaque d’essaim et à de nombreuses piqûres.

Un nuisible pour l’écosystème et les abeilles

Cet insecte n’est pas uniquement redouté pour ses piqûres. Il l’est aussi à cause des dégâts qu’il provoque dans les vergers. De même, il s’attaque aux abeilles pour se nourrir. Sa présence les stresse, donc elles récoltent moins de nectar, de pollen. C’est pour cela que le frelon est considéré comme un véritable fléau pour l’écosystème. En s’en prenant aux abeilles, il s’attaque aussi à la biodiversité car ces dernières participent à la reproduction de la plupart des plantes à fleurs. Mais elles ne sont pas les seules à être victimes de ce nuisible. Il se nourrit aussi d’araignées, de papillons, de guêpes et de mouches. D’où la nécessité d’éviter sa prolifération en confiant la destruction des nids à des professionnels tels nos désinsectiseurs.

Redouté des apiculteurs et des particuliers, le frelon asiatique fait partie des nuisibles dont on se passerait bien. Malheureusement, il faut compter sur sa présence dès le retour des beaux jours, d’autant que ces dernières années, il a progressivement étendu son territoire en France. Et cela n’a pas arrangé sa réputation qui reste toujours mauvaise. Seulement, si cet insecte est nuisible, il arrive fréquemment qu’on le confonde avec d’autres espèces, comme la guêpe. C’est pourquoi il est important de savoir le reconnaître pour éviter de s’inquiéter sans raison. Et lorsque les craintes sont fondées, il faut rapidement contacter des désinsectiseurs pour qu’ils puissent détruire le nid en toute sécurité.

Ses principales caractéristiques et la forme de son nid

Le frelon asiatique (ou vespa velutina) se distingue de son cousin européen par ses couleurs. En effet, il est plus sombre et possède un thorax brun et noir, avec une tête orange ornée d’un front noir. Quant à son abdomen, il est recouvert d’une large bande orange. En vol, ses pattes jaunes sont placées à l’arrière de son corps. Plus petit que l’Européen, il mesure entre 17 et 32 mm. Pour bien le reconnaître, il faut aussi s’intéresser à son nid qui a une forme assez particulière – sphérique – et qui se trouve, la plupart du temps, en pleine lumière. De même, il est doté d’une petite ouverture mesurant moins de 4 cm généralement et de petites écailles concentriques. A noter également qu’il est un adepte des vols stationnaires, en particulier devant les ruches des abeilles.

Un insecte souvent confondu avec une abeille ou le frelon européen

Apprendre à distinguer le frelon asiatique des autres espèces permet de connaître le comportement à adopter face à lui. Plus agressif que les autres, il est souvent considéré comme dangereux. C’est pourquoi il ne faut pas tenter de détruire soi-même son nid, ni de l’agresser avec un bâton par exemple pour essayer de le faire fuir. De même, il faut savoir l’identifier car il nuit à la biodiversité en s’attaquant aux abeilles. Le reconnaître est donc un bon moyen de limiter sa prolifération en confiant la destruction de son nid à des professionnels. Ainsi, moins ces insectes sont nombreux, moins ils provoquent de nuisances.

Chaque année, l’arrivée des beaux jours marque le retour des guêpes et des frelons. Des insectes dont la présence n’est guère appréciée en raison de leurs piqûres. Et quand il y en a quelques-uns, c’est souvent mauvais signe car il est très probable qu’il y ait un nid à proximité. Néanmoins, il existe différentes astuces naturelles pour les éloigner et éviter de subir leur présence à chaque moment passé dans votre jardin. En voici quelques-unes, à tester chez vous. Et en cas de nid, nous vous rappelons que contacter des professionnels pour une désinsectisation s’avère la solution la plus efficace et la moins dangereuse.

Des méthodes naturelles pour les éloigner

Pour repousser ces insectes nuisibles, plusieurs astuces dites « de grand-mère » ont déjà porté leurs fruits. Vous pouvez par exemple poser un diffuseur d’huiles essentielles de lavande, de clou de girofle ou de citronnelle sur une table, faire brûler de l’encens ou du café moulu. Autant d’odeurs que les frelons et guêpes n’aiment pas du tout. Si vous faites un barbecue, pensez à faire griller un peu d’ail et/ou d’oignon, puis placez-le(s) sur une assiette sur une table. Effet repoussant garanti ! Quelques plantes déplaisent également à ces insectes, comme la menthe et le thym. Le concombre les fait aussi fuir, donc n’hésitez pas à en couper quelques tranches et à en disposer à proximité de votre table ou transat.

Les bons gestes à adopter pour ne pas les attirer

Pour ne pas subir la présence de ces nuisibles, outre les méthodes citées précédemment, il y a des gestes simples à adopter. Si un frelon ou une guêpe s’approche de vous, ou se pose près de vous, surtout ne paniquez pas et ne faites pas de mouvements brusques. Si vous restez tranquille, l’insecte ne vous attaquera pas et finira par partir. Pensez également à ne pas laisser traîner des poubelles ouvertes dehors, ou des aliments, des fruits. Fermez les bouteilles de boissons sucrées lorsque vous mangez dehors. Les couleurs vives pendant les repas en extérieur sont aussi déconseillées car elles attirent ces nuisibles. Idem pour les parfums forts. Enfin, n’oubliez pas de fermer les fenêtres et portes pour qu’ils ne puissent pas pénétrer à l’intérieur de votre logement.

Le retour des beaux jours marque pour les guêpes le début de la construction de leur nid. En effet, dès que les températures se font plus douces, les reines fécondées sortent de l’hibernation. Et pour mettre à l’abri leurs œufs et élever leurs futures larves, elles construisent leur habitation. Souvent, elles le font en hauteur, dans des endroits abrités faciles d’accès pour elles. Or, une fois bâti, un nid peut devenir dangereux pour vous car cela signifie la présence d’un nombre important d’insectes nuisibles. D’où la nécessité de le faire retirer par un professionnel. Mais avant, il faut identifier précisément son emplacement. Il est donc intéressant de savoir où vivent ces indésirables.

Les principaux lieux où elles font leur nid

Certains endroits sont très prisés des guêpes pour construire un nid. C’est le cas des combles, des greniers, des cavités murales, des abris de jardin, des garages, des volets, des toits, des cheminées, des gouttières et des arbres. Des lieux sombres, où elles accèdent aisément… mais qui peuvent être difficiles d’accès pour vous car assez hauts. Pour découvrir le lieu où elles vivent, il faut souvent suivre leurs allées et venues, tout en étant vigilant car si elles se sentent menacées, elles peuvent devenir agressives et attaquer. C’est d’ailleurs pour cela qu’il ne faut pas tenter de détruire un nid seul, sans l’aide d’un professionnel, car c’est dangereux.

La terre, un autre abri de ces nuisibles

Outre les cachettes citées précédemment, certaines guêpes enterrent leur nid. Plusieurs espèces ont cette habitude et pondent sous terre, dans des galeries qu’elles ont creusées. Pour vous, le risque est de marcher dessus sans savoir ce qu’il y a en-dessous. Néanmoins, comme pour les autres emplacements, si vous repérez la présence de ces nuisibles dans votre jardin, vous pouvez les observer pour déterminer d’où ils viennent. Si vous les voyez s’approcher du sol et disparaître, il s’agit sans doute de guêpes de terre. Aussi agressives que les autres, elles n’hésiteront pas à vous piquer si vous essayez de les chasser ou de détruire leur nid. Alors mieux vaut confier cette tâche à des spécialistes, comme nos agences As de Pic !

Cafards

Outre de la nourriture, les maisons, appartements, locaux et autres bâtiments aménagés offrent de nombreuses cachettes aux cafards. C’est d’ailleurs pour cela qu’ils les envahissent. Mais ils ne se cachent pas n’importe où. Ils ont quelques lieux de prédilection, où on les retrouve à coup sûr. C’est le cas de la cuisine et de la salle de bains. Dès lors, si vous soupçonnez leur présence dans votre intérieur, il faut commencer par chercher du côté de ces deux pièces. Et si vos soupçons sont avérés, l’étape suivante est de procéder à une désinsectisation pour les éliminer (ou de confier cette tâche à des spécialistes).

La cuisine et la salle de bains, leurs pièces préférées !

Les cafards aiment particulièrement les habitations car ils y trouvent de la nourriture et diverses cachettes. Et généralement, ils s’installent dans la cuisine et la salle de bains. Deux pièces qui leur offrent de nombreux endroits où se cacher : derrière un four, un réfrigérateur, un radiateur, dans des conduits d’aération, des systèmes de ventilation, près des tuyaux, des évacuations d’eau, en-dessous d’un carrelage décollé … Ils ont l’embarras du choix ! Et ils arrivent à se faufiler partout et peuvent s’introduire dans un logement par des fissures par exemple. Une fois qu’ils sont installés quelque part, difficile de les déloger ! D’autant qu’ils peuvent survivre sans boire ni manger pendant quelques semaines car ils sont très coriaces.

Des nuisibles affectionnant les endroits humides, chauds et sombres

Si les cafards aiment vivre dans la cuisine et la salle de bains, ce n’est pas un hasard. Ces deux pièces comportent de nombreux coins sombres, humides, où ils sont à l’abri. Sans oublier la chaleur qu’ils aiment beaucoup. Quand ces critères sont réunis, ces nuisibles bénéficient donc de conditions de vie optimales ! Précisons également qu’ils possèdent une forte capacité d’adaptation. Ils peuvent donc vivre dans n’importe quel environnement, et pas uniquement dans des logements. Des locaux professionnels, ouverts au public peuvent également en être infestés, tels que des restaurants, des hôtels et des sites agro-alimentaires. Rappelons enfin que leur présence n’est pas forcément synonyme d’insalubrité.

La cohabitation avec des cafards ne se fait jamais de gaieté de cœur. Au contraire, on subit leur présence. Et rapidement, cela peut devenir difficile à vivre. Heureusement, il existe des solutions pour lutter contre ces nuisibles. Parmi elles, on retrouve la prévention. En effet, en adoptant les bons gestes, il est possible de ne plus avoir de cafards chez soi. Et ces derniers sont assez simples à réaliser au quotidien. En voici quelques-uns, que vous pouvez appliquer dès aujourd’hui pour maintenir ces nuisibles à l’écart de votre intérieur !

Ranger les aliments et enlever les restes ou sources de nourriture

Pour ne plus avoir de cafards, le premier geste à faire est de ne pas laisser traîner de nourriture. Et cela concerne toutes les durées alimentaires : les fruits, le pain, les miettes, les restes sur la table ou le plan de travail mais aussi, la nourriture de vos animaux. En pratique, cela ne veut pas dire qu’il faut tout jeter le soir avant d’aller se coucher. Il vous suffit de les mettre dans des récipients hermétiques. Pensez aussi à vider fréquemment vos poubelles, à rincer les conserves et bouteilles avant de les trier. Evitez également de laisser traîner des journaux, des magazines car ces nuisibles les mangent.

Nettoyer et surveiller les points d’accès de ces nuisibles

La nourriture n’est pas la seule à attirer les cafards. Il y a aussi la saleté, même minime. C’est pourquoi il est conseillé de nettoyer régulièrement votre plan de travail et la table où vous prenez vos repas en enlevant les miettes, les résidus alimentaires et les traces des boissons. Si vous avez des animaux, ne laissez pas leurs gamelles pleines la nuit. Si vous avez un ou des chats, videz la litière de manière régulière. Mais le nettoyage n’est pas le seul moyen de prévention efficace. Il faut aussi s’intéresser aux points d’accès de ces indésirables. Si vous avez des fissures dans des murs, comblez-les pour les empêcher de passer. Réparez aussi les plinthes décollées, les tuyaux endommagés. Et surtout, au moindre doute ou signe de leur présence, n’hésitez pas à nous contacter. Si vous attendez, ils vont proliférer et les dégâts seront plus importants.

Découvrir la présence de cafards dans son logement est une très mauvaise surprise, d’autant que ces nuisibles se reproduisent rapidement et sont plutôt résistants. Mais ils ne viennent pas dans une maison, un appartement par hasard. Ils sont attirés par les endroits chauds, humides où ils peuvent se réfugier et nidifier. Et bien qu’ils soient inoffensifs (ils ne nous attaquent pas par exemple, ne nous mordent pas), il faut reconnaître qu’ils sont assez répugnants et se retrouver face à eux n’est pas un moment agréable. Pour s’en débarrasser et éviter une nouvelle invasion, il faut comprendre d’où ils viennent, comment ils font pour pénétrer dans un logement. Voici quelques explications.

Des nuisibles se faufilant presque partout et entrant par les ouvertures

Pour arriver dans une maison, les cafards passent par les fissures présentes sur les murs, les fenêtres – si vous les laissez ouvertes quand vous dormez par exemple – et sous les portes. Espèces nocturnes, ils sortent surtout la nuit pour se nourrir. Et s’ils trouvent une ouverture chez vous, ils ne vont pas se gêner pour s’y glisser ! A noter également qu’ils peuvent entrer dans un logement en passant par des tuyaux, des canalisations. C’est pourquoi on les retrouve aussi dans des appartements situés dans des étages élevés. Et leur présence ne signifie pas qu’un intérieur est sale, mal entretenu puisque ce sont surtout la chaleur, l’humidité et la nourriture qui les attirent.

Leurs lieux de prédilection à l’intérieur d’un logement

Une fois que les cafards ont pénétré dans une maison, un appartement, il est difficile de les éliminer. Sortant la nuit, ils se cachent durant la journée. Et les endroits où ils se réfugient ne sont pas les plus aisément accessibles pour les humains. Par exemple, ils aiment se cacher sous et derrière un réfrigérateur, un four, une hotte de cuisine, un micro-ondes, près des évacuations d’eau, des tuyaux, derrière des plinthes, du carrelage décollé, du papier-peint …etc. En d’autres termes, dans des coins où il fait sombre, chaud et humide, et où ils se sentent à l’abri en journée.

Les cafards appartiennent à la catégorie des nuisibles. Difficiles à éliminer, ils doivent souvent faire l’objet d’une désinsectisation. Pour s’en débarrasser, cela s’avère la solution la plus efficace. Et s’ils provoquent des nuisances sanitaires, ils ne sont pas dangereux, dans le sens où ils ne nous attaquent pas, ils ne nous piquent pas et ne nous mordent pas. Cela les différencie donc d’autres nuisibles tels que les rats, les guêpes, les frelons et les chenilles processionnaires. Néanmoins, ils présentent des risques pour la santé des humains puisqu’ils transmettent des maladies et souillent les lieux qu’ils envahissent. C’est pour cela qu’on dit qu’ils sont nocifs.

Des nuisibles présentant des risques pour la santé

Les cafards sont considérés comme étant dangereux pour l’homme car ils sont vecteurs de maladies. Parmi les plus fréquentes, on retrouve l’hépatite, la gastro-entérite, la salmonellose, la dysenterie et la tuberculose. Autant de pathologies qui comportent des risques sur la santé humaine, et qui peuvent se transmettre par les mues, les excréments et la salive de ces nuisibles. Il arrive également qu’ils entraînent chez certaines personnes des réactions allergiques, de l’eczéma et de l’asthme. Sans compter le stress qu’ils provoquent au quotidien quand on sait que son logement en est infesté. Or, ce stress a un impact sur la santé physique mais aussi, sur le moral.

Des petites bêtes inoffensives mais redoutées

Par conséquent, on peut dire que les cafards sont dangereux puisqu’ils transmettent différentes maladies. En revanche, ils sont inoffensifs car ils ne s’attaquent pas directement aux humains, aux animaux. Mais cela n’atténue pas le caractère particulièrement désagréable d’une invasion de ces nuisibles. En s’attaquant à la nourriture, ils sont responsables de dommages financiers puisqu’il faut jeter les aliments qu’ils ont touchés. Il faut aussi nettoyer minutieusement toutes les surfaces avec lesquelles ils ont été en contact, sur lesquelles ils ont pu grimper, se déplacer afin de les désinfecter et d’éviter d’éventuelles contaminations. Enfin, après les avoir repérés, il faut agir rapidement pour les éliminer car ils se reproduisent vite.

Chenilles processionnaires

Les chenilles processionnaires sont des nuisibles qui ont progressivement étendu leur territoire en France. Il faut dire que le réchauffement climatique leur procure des conditions favorables à leur développement puisque les hivers sont de plus en plus doux. Or, la présence de cette espèce de lépidoptères a des conséquences négatives, tant sur l’environnement que sur certains êtres vivants. C’est pourquoi ces chenilles sont considérées comme des nuisibles. De même, il faut s’en méfier car elles sont recouvertes de poils urticants, que l’on retrouve également à l’intérieur des nids. Il est donc déconseillé de s’en approcher et de les détruire n’importe comment car ces poils présentent des dangers pour la santé.

Des nuisibles nocifs pour les arbres sur lesquels ils s’installent

Les chenilles processionnaires élisent domicile dans les arbres d’ornement, à savoir les pins et les chênes principalement. Si leur présence n’entraîne pas le dépérissement de ces végétaux, elle les fragilise et provoque une défoliation (une perte totale ou partielle des feuilles). Et si elles y nidifient plusieurs années de suite, cela peut favoriser l’apparition d’autres maladies. Si les arbres sont vigoureux, il faudra quelques années pour les affaiblir. Si ce n’est pas le cas, cela se fera plus rapidement, en particulier si les colonies sont nombreuses. De même, quand des pins ou des chênes sont fragilisés, ils sont plus sensibles aux autres maladies et aux aléas climatiques, et donc moins résistants.

Des dangers pour les hommes et les animaux

Les arbres ne sont pas les seuls à subir les effets négatifs d’une infestation de chenilles processionnaires. Ces dernières sont aussi dangereuses pour les hommes à cause de leurs poils urticants. Au contact de la peau et des muqueuses, ils peuvent entraîner une éruption cutanée et d’importantes démangeaisons à cause de la toxine qu’ils contiennent, la thaumétopoéine. Certaines personnes y sont également allergiques. De même, ces poils urticants constituent un danger pour les animaux tels que les chevaux, les chats, les poules et les chiens. Dès lors, en cas de nid, il faut les éloigner et les empêcher de s’en approcher. Les poils étant projetés quand ces nuisibles se sentent agressés, menacés, il faut établir un large périmètre de sécurité autour d’un nid. Quant à sa destruction, elle nécessite des précautions. Il est donc recommandé de confier cette tâche à des spécialistes.

Les chenilles processionnaires font partie des nuisibles que l’on rencontre fréquemment en France. Recouvertes de poils urticants, elles sont dangereuses pour les humains et les animaux. En effet, quand elles se sentent menacées, elles les libèrent et au contact de la peau, ils provoquent des douleurs, des irritations et des démangeaisons. C’est pourquoi il ne faut ni les toucher, ni s’en approcher. Or, on retrouve également ces poils en grande quantité dans les nids. Leur destruction doit donc être réalisée avec précaution. Et pour s’en débarrasser, mieux vaut contacter des professionnels qui savent comment les détruire tout en respectant les règles de sécurité.

Détruire le nid, un geste pouvant être dangereux

Si vous avez un nid de chenilles processionnaires dans votre jardin, il ne faut surtout pas taper dessus avec un bâton. Si vous faites cela, vous serez exposé aux poils qui sont à l’intérieur. Le brûler est également une très mauvaise idée car vous risquez de mettre le feu à l’arbre. Il ne faut pas non plus secouer les branches pour le faire tomber car les poils vont voler partout. Nous vous déconseillons aussi de vaporiser à l’intérieur et dessus n’importe quel insecticide. Si vous devez vous en approcher, il est impératif de porter des équipements de protection (des gants, un masque) et de bien se couvrir le corps et le visage.

Confier la destruction à des pros, la meilleure solution pour l’éliminer

Se débarrasser seul d’un nid de chenilles processionnaires présente de nombreux risques. C’est pour cela qu’il est préférable de contacter des professionnels pour qu’ils viennent s’en occuper. D’autant que la destruction d’un nid se fait en plusieurs étapes. Il faut d’abord piéger les chenilles. Puis retirer leur habitat à l’aide d’un échenilloir sur une perche ou avec une nacelle, et ensuite le détruire. Chez As de Pic, nous utilisons des pièges que nous plaçons sur le tronc de l’arbre infesté ou dans les branches. Nos équipes ont l’habitude de réaliser cette intervention et connaissent les règles à respecter. Vous pouvez donc faire appel à nos services afin de profiter d’une désinsectisation rapide.

Le retour du printemps est souvent associé à celui des beaux jours. Malheureusement, le soleil et les températures douces ne sont pas les seuls à revenir à cette période de l’année. C’est également le cas des chenilles processionnaires, qui envahissent les pins et les chênes dès avril jusqu’à l’automne (novembre en général, mais tout dépend du climat). Et c’est plutôt une mauvaise nouvelle car ces dernières sont des parasites pour les arbres qu’elles infestent, et présentent des dangers pour les hommes et les animaux de compagnie. C’est pour cela qu’il faut s’en méfier et s’en débarrasser. Mais d’abord, il faut apprendre à les reconnaître.

Les signes physiques permettant de les distinguer

Premier signe distinctif des chenilles processionnaires : elles sont recouvertes de poils blancs, d’aspect soyeux, et de petits poils orange qui sont urticants. Leur corps est brun foncé, avec des tâches rougeâtres sur les flancs. Quant à leur ventre, il est jaune et leur tête est noire. On les reconnaît aussi à leur manière de se déplacer puisqu’elles avancent en troupeau et en file indienne. Il est donc très rare d’en voir une toute seule. Et ce déplacement en procession est dangereux car si elles se sentent menacées, elles vont toutes libérer leurs poils urticants, ce qui multiple les risques de contact avec la peau, les yeux et les ingestions.

Connaître leur mode de vie pour mieux les identifier

Les chenilles processionnaires vivent donc en groupe, et font des nids dans les chênes et les pins à partir d’excréments et de leurs poils. C’est d’ailleurs pour cela qu’il ne faut pas détruire n’importe comment un nid car il contient une grande quantité de poils. Pour descendre des arbres où elles sont installées, elles tissent des fils qui ressemblent à ceux des araignées, qui leur permettent ensuite de retrouver l’emplacement de leur nid. Ce dernier se reconnaît assez facilement car il prend la forme d’une grosse boule blanche de fils de soie. De même, retenez qu’en hiver, elles ne sortent que la nuit alors qu’au printemps, quand les températures commencent à augmenter, elles se promènent en journée.

En France, les chenilles processionnaires sont présentes dans plusieurs régions. Se déplaçant les unes derrière les autres, d’où leur nom, elles apparaissent en même temps que les beaux jours. Ainsi, il est fréquent de les apercevoir entre avril et novembre, sachant que leur cycle de vie dépend beaucoup du climat. Et s’il est possible de voir une procession au sol, les nids, quant à eux, se trouvent dans des arbres. Mais pas dans n’importe lesquels. En effet, ces insectes envahissent principalement les pins, et on les retrouve aussi de plus en plus dans les chênes. En somme, des variétés qui sont très nombreuses en France et qui peuvent donc être victimes de leur invasion.

Le pin et le chêne, leurs végétaux de prédilection en France

Dans les pins, voire les sapins, les chenilles processionnaires se nourrissent d’épines. En revanche, dans les chênes, ce sont les feuilles qui leur servent de repas. Or dans les deux cas, leur présence affaiblit les arbres. Si elles ont élu domicile dans un pin, cela se remarque à la couleur des aiguilles qui finissent par jaunir avant de prendre une teinte rousse. Dans les chênes, la couleur des feuilles ne change pas. En revanche, elles présentent des trous à certains endroits et des plaques grises qui sont des amas de larves.

Quels dégâts causent-elles dans ces arbres ?

Les chenilles processionnaires ne sont pas les bienvenues dans les pins et les chênes à cause des dégâts qu’elles provoquent. Elles les affaiblissent et en les défoliant, elles ralentissent leur croissance. Elles les fragilisent donc, et s’ils sont déjà faibles, cela peut conduire à leur mort, notamment si les attaques sont répétées chaque année. De même, elles peuvent favoriser l’apparition d’autres parasites bien plus dangereux pour ces arbres. Par conséquent, quand un nid est repéré, il faut agir vite pour le retirer et le détruire afin d’éviter leur prolifération. A ce propos, les nids se reconnaissent à leur forme car ils ressemblent à de grosses boules de soie. Dans les pins, ils se trouvent dans les branches, alors que dans les chênes ils sont sur le tronc.